Symbole
et vie profane
« Ici tout est symbole », voilà la première phrase que j’ai entendue lorsque je suis entré dans ce temple en temps que récipiendaire, afin d’y être initié. Impressionnant d’entendre cela lorsque l’on a les yeux bandés et que l’on pénètre dans un lieu inconnu. Le message était donc très clair, dorénavant il ne serait pas possible de passer à côté du symbole, au risque de rater une partie importante de l’initiation maçonnique, au risque de ne percevoir peut être les choses que de façon très superficielle. J’étais donc, dés ce jour là, « condamné » (entre guillemets) à étudier les symboles, puisque « tout est symbole » dans ce lieu où je venais de pénétrer et où je travaille maintenant deux fois par mois.
Après ces quelques années
passées à vos côtés sur les colonnes, au nord puis au sud, j’ai essayé de
réfléchir sur mon rapport aux symboles, sur ce qu’ils m’ont apporté ou
pas, autant dans mon parcours maçonnique que dans ma vie profane ; faire
un point à ce stade du parcours maçonnique….Je développerai ensuite, et
plus particulièrement un symbole qui me « parle » plus que les
autres, qui m’a beaucoup apporté, et qui me touche plus que les autres et
ceci afin d’illustrer mon propos.
Au premier abord, tout semble très compliqué. La découverte du temple et de tous ces symboles qui sont nouveaux. Mais on constate très vite, que tout est bien à sa place. Combien de fois me suis-je dit : « qu’est ce que tout çela est bien pensé ! ». Tout est à sa place, il ne manque rien, plus on avance et plus on le constate. L’initiation qui agit comme l’étincelle, qui invite à la découverte, qui permettez-moi l’expression, nous « met le doigt dans l’engrenage ». Elle montre tout et pourtant on ne comprend que peu de choses ce jour là, pour ne pas dire rien. Rien n’est fait et pourtant tout a déjà commencé sans que l’on ait été acteur un seul instant. Et pour moi, c’est bien là que le symbole entre en action. J’ai beaucoup apprécié lors de la dernière tenue lorsqu’un frère a précisé que l’on n’est pas initié en Franc maçonnerie, mais que finalement, on s’initie soit même ! C’est très fort et même capital ! Je dois être acteur de ma propre initiation. L’initiation du premier jour n’est qu’une invitation, une étincelle, mais une étincelle indispensable pour allumer la flamme. Mais tout reste à faire. Et c’est bien là que le symbole entre en action si je puis dire. Dés le moment, où finalement je tiens le ciseau et le maillet dans les mains, dés le moment où je vois le soleil, la lune, le triangle………etc, le symbole devient actif. Dés que je me questionne sur sa signification, sur son origine, sur le pourquoi de sa présence en ce lieu, le travail commence et l’initiation aussi ! Et c’est à la longue, au fur et à mesure que l’on prend conscience que le symbole apporte ce petit plus qui va permettre de ressentir, de comprendre, d’ouvrir des portes dont on ignorait même l’existence jusque là, que l’on prend conscience que le symbole va de paire avec l’initiation maçonnique. Il est clairement incontournable. Il illumine, il donne vie et lève le voile ! Otto Betz, symboliste réputé, dit la chose suivante : « Les symboles sont des portes ou des clés, qui donnent accès aux plans profonds de la réalité qui demeurent cachés à l’esprit et aux sens non exercés. ».
Cette phrase est
particulièrement intéressante me semble t il ! Les symboles sont des
portes, ou des clés : ils permettent donc d’accéder à des
connaissances jusque là inconnues. Ils initient donc puisqu’ils permettent
une nouvelle approche, une découverte d’un domaine ou d’une pensée jusque
là inexistante. « Ces clés donnent accès aux plans profonds de la réalité »,
Otto Betz précise bien réalité et non pas vérité. C’est important de le
noter.
Mais au fait, est on naturellement doué pour la compréhension du symbole ? Bien sûr, il y a des symboles partout dans la vie, on les côtoie tous les jours sans en être vraiment conscient ! Je tiens quand même à distinguer les « signes » qui jalonnent notre vie, des symboles maçonniques qui ont un sens tellement profond et que des exégètes du symbole comme Ragon, Bouchet ou Wirth étudient durant une vie entière sans en faire complètement le tour. Nous ne sommes pas naturellement doués pour le symbole pour la simple raison qu’il n’est pas révélé, pas mis en évidence, pas éveillé. Le symbole est en nous, il est présent dans notre inconscient, mais il faut l’activer. De plus, cette forme de langage à part entière, car c’en est une, nécessite un apprentissage, une découverte, une étude, comme cela a été le cas pour chacun d’entre nous lorsque nous avons appris à lire ou à écrire. Nous ne nous rappelons plus de ce moment, mais il a fallu du temps, de l’énergie, et surtout beaucoup de pratique. Et les bénéfices ne sont venus que petit à petit, que progressivement et sur le long terme, par la découverte, beaucoup plus tard, de grands auteurs par exemple. Pour le symbole, il me semble que c’est un peu la même chose ! Le symbole est en nous mais il demande à être révélé, réveillé, et pour cela il faut comprendre cette forme de langage nouvelle et connue à la fois. Je reprends la phrase de Betz, dans laquelle tout est dit : « Les symboles sont des portes ou des clés qui donnent accès aux plans profonds de la réalité, qui demeurent cachés à l’esprit et aux sens non exercés. ». Il précise bien « à l’esprit et aux sens non exercés », ce qui fait allusion au travail. Selon lui, nous devons exercer nos sens à la compréhension du symbole, il dit bien nos sens, et cela nous ramène à l’élévation au second et à l’importance des sens.
L’élévation au
second degré souligne aussi l’importance du travail par le « Gloire
au travail ». Il ne s’agit pas de travailler pour gagner plus, justement
pas, pas de travail pour plus d’avoir, mais du travail pour plus d’être. Il
s’agit d’une invitation au travail qui élève, qui grandit et je pense que
le travail autour du symbole fait grandir le maçon qui en a la volonté. Et le
symbole ne se révèle qu’à celui qui cherche un minimum et qui travaille. De
même, une des significations de la lettre G, la gnose (de gnossos, la
connaissance), ne fait pas allusion à la connaissance au sens de « culture »,
que l’on amasse en quantité et que l’on peut étaler à souhait. Il
s’agit plutôt d’une autre forme de connaissance qui éveille, qui illumine
comme celle apportée par le symbole justement. Forme de connaissance transmise
par nos ancêtres, nos frères vénérés qui avaient eux même cette
connaissance. Il s’agit là, de « la tête bien faîte » plus que
de « la tête bien pleine ».
« Le symbole est
une science » disait René Guénon. Je pense que la compréhension du
symbole nécessite bien sûr une approche rationnelle, comme toute forme de
science avec logique et rigueur. On se questionne sur son sens avec raisonnement
et de façon empirique, comme on nous a appris à le faire dans de nombreux
domaines. Mais il me semble indispensable d’avoir aussi une approche véritablement
émotionnelle, une approche du cœur, un ressenti. Je pense, avec la petite expérience
que j’ai pu acquérir depuis ces quelques années, que l’approche
rationnelle permet de comprendre le symbole, tandis que l’approche plus émotionnelle
permet de le ressentir avec les sens, avec le cœur, le cœur conscience
comme j’ai pu lire dans certains livres de maçonnerie. J’aime cette
association de cœur et de conscience. Ces deux approches sont complémentaires
et indissociables.
Pour l’approche rationnelle, de nombreux exégètes que sont les Ragon, Bouchet et autres Wirth ont consacré leur vie entière à l’étude du symbole. En les lisant, on peut bénéficier de leurs nombreuses connaissances, de leur expérience et de leur « lecture » de chaque symbole.
La difficulté est quand même de trouver l’équilibre entre apport extérieur si je puis dire, et ressenti personnel. Attention de ne pas trop « parasiter » le ressenti, de ne pas « tuer dans l’œuf dans le nid » par trop de lectures. Je pense qu’il est donc important de se documenter sur le symbole, de faire des recherches, de bénéficier de la connaissance des autres, car le sens de chaque symbole est tellement vaste, complexe et profond que l’on en percevrait que trop peu lorsque l’on a peu d’expérience et de recul dans ce domaine. Mais attention de laisser une part à notre propre perception, parce que nous sommes tous uniques et que nous ressentons donc les choses, de façon unique. C’est une chance d’être unique ! Ne la sacrifions pas en singeant trop les exégètes du symbole dans leur interprétation, en reprenant trop leur conception et en délaissant notre propre vision. Mais restons dans la réalité quand même, car comme nous le dit Guénon :
« Le symbole
est une science exacte, et non pas une rêverie ou les fantaisies individuelles
peuvent se donner libre cours. »
En
conclusion, sur ce paragraphe plutôt
généraliste sur le symbole, il me semble judicieux d’adopter une fois de
plus, la voie du milieu, où il faut conjuguer raison et émotion pour approcher
véritablement le sens des symboles, sans pour autant se laisser aller à des
fantaisies ou des rêveries. Il faut du temps, du travail et de la patience pour
que de nouvelles portes s’ouvrent, que des étincelles jaillissent, étincelles
initiatrices je l’espère.
Pour la deuxième partie, j’aimerais maintenant traité un symbole, un outil en particulier, un qui me touche plus que les autres, un qui m’a tout de suite interpellé, et ce, je ne sais pas vraiment pourquoi ! Il s’agit du Fil à plomb.
Tout maçon qui entre dans un temple et prend place sur les colonnes, que ce soit sur celle du Nord ou sur celle du midi, ne peut pas le manquer. Il est au centre du Temple Maçonnique, placé juste au dessus du tableau de loge, ce qui n’est pas un hasard bien évidemment.
Si l’on fait une rapide description de cet outil, le fil à plomb se compose d’un fil, lesté d’un poids à l’une de ses extrémités, le peson. On peut difficilement trouver plus simple. Et si le niveau indique l’horizontalité, le fil à plomb révèle la verticalité, il révèle aussi l’attraction terrestre .Il est l’outil du bâtisseur par définition. Comment envisager de construire un édifice, quel qu’il soit, le plus simple comme le plus compliqué, sans cet outil ? C’est impossible. Même de nos jours, tout maçon opératif utilise un fil à plomb pour élever un mur.
Le temple maçonnique est bâti à l’image du cosmos, il en est une copie à dimension humaine. Le temple, comme tout autre lieu sacré, ne peut s’organiser sans axe principal qui le lie au cosmos. Le temple entier est organisé autour de cet axe, que l’on qualifie d’axe primordial parce que sans lui, pas d’édifice sacré. C’est lui qui relie le terrestre au céleste, car de tous temps, les hommes se sont interrogés sur les cieux, et un lien entre les deux est indispensable pour bénéficier d’une élévation.
Dans le temple maçonnique,
cet axe peut être imaginé, mais il n’est pas visible. Le fil à plomb est là
pour ça. Il révèle l’axe
primordial. Placé au dessus du tableau de loge, il symbolise l’axe essentiel.
Tout se construit autour de lui, il est indispensable !
Dans toute construction sacrée, on retrouve cet axe essentiel qui lie l’édifice sacré au cosmos. C’est l’axis mundi. A noter que le fil à plomb, alors outil devient justement symbole lorsqu’il joue ce rôle de révélateur que nous avons vu tout à l’heure.
De nombreuses sociétés traditionnelles considéraient qu’elles vivaient au centre du monde, non pas par vanité mais parce qu’elles pensaient qu’elles constituaient un monde à part entière. Ce monde devait avoir un centre.
Chez les Gaulois, c’est la colonne unique qui est au centre et porte la voûte de pierre qu’est le ciel. Si le support cède, le ciel leur tombe sur la tête.
Chez les grecs, le support en lui-même n’est pas visible, mais le lieu où il passe est connu, c’est l’omphalos de Delphes, le nombril du monde.
Dans la tradition des Indiens Sioux, la construction de la loge pour la danse du soleil s’ordonne autour de l’axe central. Il symbolise l’arbre sacré, le Grand Esprit, centre de toute chose. Tout vient de lui et retourne à lui. On peut citer de nombreux édifices sacrés où l’on retrouve cet axe autour duquel tout s’organise. Pour le mât de cocagne, l’idée est la même, relier le ciel et la terre.
La recherche de la
verticalité parfaite obtenue grâce au fil à plomb est importante aussi, car
associée à l’horizontalité parfaite obtenue par le niveau, elle permet
d’obtenir l’équerre. La rectitude ne peut être obtenue que grâce à la
combinaison de ces deux outils. Les trois outils indispensables à la
construction de tout édifice sont alors réunis et comme le dit la maxime
compagnonnique : « Je suis d’aplomb, tu es de niveau, nous sommes
d’équerre ».
Pour ma part, le fil à plomb est un symbole qui, parce qu’il va du haut vers le bas ou du bas vers le haut, car il n’y a ni bas ni haut, invite au voyage à la fois :
- vers la voûte étoilée qui incite à l’élévation, à la transcendance, au dépassement de soi.
- mais aussi vers le centre de la terre, qui immédiatement nous ramène à l’initiation, au VITRIOL.
Nous savons que le
travail sur soi, la taille de la pierre passe par des phases où l’on cherche
au plus profond de soi, dans la terre, la boue même parfois. C’est le cabinet
de réflexion, le centre de la terre, la recherche de la pierre philosophale.
Mais suite à ces phases en rapport avec l’élément terre, il y a ensuite
l’élévation, la phase où l’on grandit, direction les cieux, le cosmos, en
rapport cette fois avec l’élément air. Et c’est un éternel va et vient,
entre terre et air finalement, et c’est aussi cela que symbolise le fil à
plomb. Il nous dit : « Mon frère, si tu veux t’élever,
n’oublies pas de descendre au fond de la terre, te ressourcer, afin de mieux
t’élever ». De plus, la construction du temple intérieur exige un axe
de construction, à l’image du temple maçonnique. Lorsque l’on dit communément
dans le monde profane, c’est quelqu’un « qui est d’aplomb »,
on fait référence au fil à plomb sans le savoir. « Etre d’aplomb »,
c’est en quelque sorte, avoir trouvé son axe, être en accord avec soi même.
Celui qui a trouvé son axe, a toutes les chances d’être bien dans sa tête
et dans son corps, équilibre indispensable dans les médecines orientales où
l’on ne dissocie pas ces deux aspects, physiques et psychiques. En théorie,
il faut que chaque maçon trouve son axe de construction, pour qu’il puisse
participer à la construction du temple maçonnique. L’axe du temple n’est
que la résultante de l’axe de chaque maçon qui le compose.
Dans la vie profane, cet outil m’apporte beaucoup. Nous vivons aujourd’hui dans une société tourmentée, où l’on parle plus souvent de crise, de stress, de contraintes et de frustration que l’on ne parle d’élévation ou de satisfaction personnelle, quelque soit les domaines dans lesquels on travaille. Le fil à plomb m’invite à grandir, à m’élever. Je sais que je ne peux pas vivre sans l’autre, j’ai besoin de l’autre, c’est inhérent à la nature humaine. Il est donc plus sage d’apprendre à vivre avec l’autre. C’est en prenant de la hauteur que je ne juge pas l’autre mais, qu’au contraire, j’essaie de le comprendre! Alors attention, s’élever, prendre de la hauteur, c’est tout le bénéfice que nous apporte la compréhension du symbole qu’est le Fil à plomb, mais certainement pas pour affirmer une quelconque forme de supériorité qui serait à l’opposé du sens de ce symbole, mais bien au contraire de la compréhension, de la tolérance. La tolérance, vertu essentielle, indispensable pour vivre en bonne intelligence avec l’autre, vertu qui invite à la compassion, à l’empathie plus qu’au jugement ou au rapport de force. Cette vertu suggérée par le fil à plomb est capitale dans de nombreuses situations : dans le cadre professionnel où les tensions sont fréquentes pour de multiples raisons; dans le cadre familial où l’éducation des enfants nécessite souvent de l’élévation, la même dont doit faire preuve le second surveillant vis-à-vis de l’apprenti en plein questionnement et qui peut être maladroit, élévation indispensable aussi pour tout maçon en loge : les ateliers maçonniques sont composés de frères très différents, par leurs origines, leurs croyances, leur éducation, leurs idées. Quelque soit le sujet traité, même si les avis divergent, on doit s’élever au dessus des différences, différences qui sont source de richesse rappelons le, s’élever au dessus de nos différences pour les dépasser et continuer le travail.
Chaque fois que l’on
réussi cette démarche d’élévation, c’est une avancée, une progression,
une victoire sur soi même, une énorme satisfaction. C’est l’ illustration
qui prouve bien que l’étude du symbole n’est pas une fin en soi,
mais qu’elle a des applications concrètes et qu’elle n’est pas que belle
parole.
D’autre part, si je me pose la question de ce que l’on peut apporter dans le monde profane, je pense qu’il faut être humble. Avec le phénomène de mondialisation qui accélère tout, dans un monde qui va de plus en plus vite, n’est il pas opportun d’agir « local »? Il est loin le temps ou l’assemblée nationale comptait 80 % de maçons qui avaient un effet direct sur la politique et les orientations de l’état. Aujourd’hui, je peux peut être changer les choses par l’exemple, par mon comportement. Plus ma pierre sera taillée, plus elle aura de chance d’inciter l’autre à tailler sa pierre, même inconsciemment.
Mais c’est en rédigeant
cette planche, que je me suis posé la question : doit on distinguer une
vie profane d’une vie maçonnique ? Je crois que non. Ne sommes nous pas
maçons à plein temps ! Et le symbole ne peut il pas apporter aussi son
effet dans les relations entre frères au sein de l’atelier, autant que dans
le monde profane ? Notre atelier a connu des difficultés, mais quoi
de plus normal, il vit et il est composé d’hommes qui travaillent, avec leurs
qualités et leurs défauts. Mais avec le rituel d’une part, qui apporte un
cadre, un contenant, et les symboles d’autre part, qui élèvent, qui éveillent,
nous devrions avoir la capacité de passer au dessus de ces problèmes. Si ce
n’était pas le cas, nous pourrions douter de la force des symboles, ou peut
être pensé que nous ne les travaillons pas assez !
En conclusion, je dirais que le symbole est ce qui unit tout les francs maçons du monde. Quelque soit notre obédience, notre atelier, le rite auquel nous travaillons, le symbole est notre liant. Parce qu’ici tout est symbole, nous ne pouvons pas l’ignorer, et nous sommes même « condamnés » à le travailler encore et encore. Bien évidemment, chacun à son niveau, chacun à son rythme, chacun à sa façon. Pour certains, c’est une passion, pour d’autres beaucoup moins. Lorsque je lis certains livres sur le symbolisme, je me demande comment on peut voir autant de sens dans tel ou tel symbole. Mais nous savons tous ici, que le symbole est l’outil du maçon. C’est le travail du symbole et le rituel qui différencient nos travaux de ceux d’une association philosophique classique. Et lorsque l’on se pose la question de savoir ce que l’on peut apporter au profane qui frappe à la porte du Temple, c’est entre autre la volonté de découvrir les symboles qui ornent notre temple et de s’enrichir par leur connaissance. Ceci avec l’objectif d’en utiliser les enseignements dans le monde profane, pour participer de façon modeste à l’amélioration du monde dans lequel nous vivons.
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